Marble-qt est une alternative libre à googleearth. Cependant contrairement à son jumeau marble disponible en français dans les dépôts et présentant une forte dépendance à l’environnement kde, marble-qt ne l’est pas. Après quelques recherches dans les sources du projet, il est possible d’arriver à traduire la bête. En attendant que la création de ces fichiers soit bien automatisée du côté du projet, vous pouvez télécharger le fichier de traduction suivant marble-fr.qm et le placer dans le dossier /usr/share/marble-qt ( en fait l’emplacement n’a aucune importance), qu’il vous faudra créer pour l’occasion. La version en ligne de commande.
Quelques précisions sur la construction du fichier de traduction
les sources du projets peuvent être trouvées ici : https://marble.kde.org/sources.php
Une fois récupérées, il faut télécharger les fichiers de traduction « .po » via les scripts contenus dans le sous dossier sources/data/lang.
Un petit problème est apparu lors de création du fichier de traduction, les « touches de raccourcis »
n’étaient pas bien traduites, des « _ » restaient visibles, du coup en modifiant le fichier « .po » via
sed -e 's/^\(msgstr.*\)&\([^\s]\)/\1\2/' \
-e 's/^\(msgstr.*\)\([^&]\)\(ge\|gt\|lt\|deg\|nbsp\);/\1\2\&\3;/g' \
-i marble-fr.po
on supprime ces raccourcis.
Enfin il faut compiler le projet avec cmake et récupérer les fichiers de traductions dans le sous-répertoire data/lang du dossier de compilation
Petit accro du dernier instant
Dans le premier paragraphe j’avais précisé un emplacement à respecter pour placer le fichier de traduction. En fait l’élément important à respecter est de lancer marble-qt depuis le dossier contenant le ficher de traduction (Ou trouver le bon emplacement). Donc une solution est de créer un fichier exécutable launch_marble-qt contenant le code suivant :
#!/bin/bash
cd /usr/share/marble-qt
marble-qt
à placer dans /usr/bin puis de modifier le lanceur /usr/share/applications/kde4/marble-qt.desktop en adaptant la ligne d’exécution pour lancer le script précédent :
Exec=launch_marble-qt
Enfin, afin que la mise à jour du lanceur soit prise en compte, une déconnexion /reconnexion à la session devrait suffire. Si vous êtes sous Xubuntu vous pouvez vous contenter de relancer le gestionnaire xfce4-panel via
Ubuntu et Xubuntu 14.04 sont dans les bacs depuis avril dernier… et quelques installations ont été réalisées depuis par les petites fourmis de Desclicks. Nous continuons de migrer les widowsiens sans relâche. Pour ce faire nous avons réalisé un « petit » script de post-installation de (X)ubuntu afin d’améliorer à notre manière la distribution. Au menu notamment, mises à jours de traductions, choix de logiciels alternatifs, choix d’installation de logiciels bien propriétaire comme il faut… hello skype… installations d’extensions pour Firefox et quelques petites améliorations graphiques. Si vous voulez compléter votre installation, ou si vous êtes amené à réaliser un nombre important d’installations, j’espère que cet outil pourra vous être utile.
Aujourd’hui on va voir une astuce trouvée ici permettant d’utiliser la fonction de partage de picasa sous linux. Actuellement cette astuce requiert d’avoir accès à un vrai environnement Windows. J’espère cependant que cette barrière pourra être levée d’ici peu. L’astuce en question consiste à récupérer quelques clés de registre écrites par picasa dans le registre Windows afin de les importer dans l’environnement wine sous Linux.
Récupération des données picasa sous Windows
Tout d’abord il va falloir télécharger et installer picasa sous Windows
Afin de récupérer les informations de registre souhaitées, on va utiliser un outil de l’ami nirsoft : regfromapp. On peut également aller lire soit même le registre, mais là on se simplifie la vie… hum.
Maintenant on lance picasa puis on clique sur le bouton partage pour envoyer une petite photo de chat sur la toile. La fenêtre de connexion demandant identifiant et mot de passe de son compte picasaweb apparaît. Stop, on attend avant de rentrer ses identifiants
On lance l’outil regfromapp de nirsoft, et on sélectionne évidemment picasa comme application à scanner
On peut enfin rentrer ses identifiants
L’outil de nirsoft nous à sorti les clé de registre que picasa a enregistré et ça ressemble à ceci :
[HKEY_CURRENT_USER\Software\Google\Picasa\Picasa2\Preferences]
"GoogleOAuth"=hex(3):"une cle hexa decimale ici"
"GoogleOAuthEmail"="monmail@monfournisseur"
"GoogleOAuthServices"="mail,lh2,cp,cp.manager,mailrelay,"
"GoogleOAuthVersion"=dword:00000005
"LastUserESState"=dword:00000000
"SyncVersion:monmail@monfournisseur_lh"=dword:00000001
On copie-colle ceci dans un fichier texte basique. Utilisez notepad ! On renomme le fichier picasa_id.reg par exemple et on copie ça sur une clé USB ou autre pour le rapatriement sous Linux.
Ouf c’est fini pour la partie sous Windows, on peut aller se laver les mains avant de retourner sous Linux… question d’hygiène.
Installation et configuration de picasa avec playonlinux
Si ce n’est pas déjà fait, installer playonlinux… c’est bon ?
On installe tranquillement picasa via le script playonlinux, c’est tout facile. Petite remarque, internet explorer ne semble pas du tout nécessaire pour faire tourner picasa. On peut décider de vivre avec, mais si vous faites des réactions allergiques violentes à ce navigateur, voici l’astuce de votre médecin :
Déroulez la section « Code Source » du premier post et faites un copier-coller du code dans un fichier picasa.sh. Ne copiez pas les numéros de lignes ! Rendez le fichier exécutable ( dans en terminal ouvert dans le dossier du fichierchmod u+x picasa.sh ).
Commentez la ligne contenant POL_Call POL_Install_ie8 en ajoutant le symbole « # » au début de celle-ci.
Installez picasa avec playonlinux en utilisant ce script. Pour ce faire il faut aller dans la section « Outils » de la barre des taches, puis dans « Exécuter un script local » pour choisir le script picasa.sh.
Finissez par une petite tisane au thym avec un peu de miel pour évacuer les tensions négatives.
Maintenant il faut aller dans la section « Configurer », sélectionner le disque virtuel d’installation de picasa, puis aller dans l’onglet Wine pour lancer « l’Éditeur de la base de registre »… ouf. Une fois dans l’éditeur de registre, ouvrez le menu « Registre » pour y importez le fichier registre picasa_id.reg. (il va falloir naviguer un peu dans les dossiers)
Enfin petit filet de protection avant de partir. En effet si vous vous déconnectez de votre compte à l’intérieur de picasa, patatrac on ne peut plus se reconnecter via le bouton, grrr ! Donc on peut forcer le réimport du fichier à chaque réouverture de picasa en ajoutant la commande :
regedit /s /chemin/de/picasa_id.reg
comme commande à exécuter avant picasa. Ça se fait dans la section « Divers » de l’outil de configuration.
Ouf on a fait un bel effort ici… On verra prochainement comment se passer de picasa sour Linux en utilisant une l’alternative libre : le logiciel Shotwell.
Certains d’entre vous l’ont déjà remarqué, l’éjection via le bouton physique de votre lecteur CD/DVD est incomplète. En effet une fois éjecté ainsi le lecteur CD/DVD est toujours visible sur le gestionnaire de fichier ainsi que sur le bureau xfce ou dans la barre de lanceur d’unity. Le problème n’est pas spécifique à Ubuntu mais traîne depuis un moment. Une solution de contournement provisoire glanée sur launchpad peut être envisagée. Deux fichiers seront à créer et le paquet dvd+rw-tools devra être installé si ce n’est pas déjà le cas. Le premier fichier /etc/udev/rules.d/61-sr-change.rules devra contenir le code suivant :
Il va permettre, lors de l’éjection manuelle, d’exécuter le second fichier /usr/local/bin/sr_change.sh qui lui contient le code suivant :
#!/bin/sh
if [ $# -eq 1 ]
then
source=/dev/sr$1
else
source=/dev/sr0
fi
dvd+rw-mediainfo $source > /dev/null
n=$?
if [ "$n" -eq '251' ]
then
umount $source
fi
exit 0
Ce dernier fichier devra être exécutable ce qui peut être réalisé via la commande :
Si vous souhaitez remplacer le lecteur audio et vidéo d’Xubuntu Parole par VLC voici les quelques étapes à suivre :
Installer VLC
Pour ce faire rendez-vous dans la logithèque d’Ubuntu pour installer le paquet ou installez le en ligne de commande
sudo apt-get install vlc
Modifier les commandes de lancement automatique des CD/DVD
Lancez le gestionnaire de disques amovibles et médias présent dans gestionnaire de paramètres :
Puis dans la section multimedia :
où vous pouvez modifier la commande de lancement des cd audio par :
vlc -q cdda://%d
et celle des CD/DVD vidéos par :
vlc -q --fullscreen dvd://%d
Le %d présent dans les commandes fait référence à l’identifiant de votre lecteur.
Aller dans le détail
Vous pouvez également jeter un œil à l’onglet « Raccourcis d’applications » présent dans la section « Clavier » du panneau de configuration afin de définir un raccourci personnalisé.
Flightgear est un logiciel Libre de simulation de vol aérienne. Afin d’améliorer les scènes, il est possible d’importer les données d’openstreetmap via le script osm2city. Bâtiments et routes permettent d’ajouter du réalisme au zone survolées. Nous vous proposons les scènes que nous avons généré pour la région Strasbourgeoise .
contient les bâtiments non-inclus dans dans le scénario des bâtiments importants, les routes ainsi que les rails de chemins de fer et de tram de la région.
Si vous souhaitez nous aider dans l’amélioration de ces scènes vous pouvez rejoindre le forum flightgear france sur ce fil.
Ce Mercredi 07 Mai de 18h30 à 23h, Desclicks organise dans les locaux du Céméa au 22 rue de la Broque à Strasbourg, une install party Ubuntu. Les bénévoles de l’association vous propose un encadrement technique pour installer Trusty Tahrl, la dernière version du système d’exploitation libre.
Cet évènement convivial sera l’occasion de partager et d’apprendre, le tout autour d’une bonne tranche de pizza 😉
Pour plus d’informations sur l’organisation générale d’une install party ça se passe ici ou contactez bakoly par mail : bakolyATdesclicks.net.
« Une soirée d’information sur la fin du support de windows XP est organisée dans les locaux de l’association le 19 avril à partir de 18h. Plus d’info ici «
Le 8 avril 2014 le support officiel d’XP devrait s’arrêter définitivement. Votre machine continuera de fonctionner normalement, cependant la société Microsoft ne fournira plus de mises à jour pour ce système d’exploitation. Ce qui implique que :
Les nouvelles failles de sécurité découvertes après le 8 avril 2014 seront laissées telles quelles,
Aucune nouvelle amélioration ne sera apportée au système,
Le support de l’antivirus de Microsoft sera également stoppé,
Les navigateurs Internet Explorer 9 et les précédentes versions compatibles ne seront plus maintenus.
Actuellement aucune information n’a été communiquée quant au support antivirus pour des logiciels tels que Avast, Avira ou AVG, mais les versions compatibles XP continueront vraisemblablement à être maintenues quelque temps. Du côté des navigateurs internet Chrome sera maintenu au moins jusqu’en avril 2015, Firefox et Opéra continueront également leur support pour une durée non encore déterminée.
Que faire d’ici le 8 avril ?
Rester sous XP en ayant pris conscience des risques grandissants liés à l’utilisation du système.
Se ruer sur une nouvelle machine sous Windows 8.1 : une mauvaise idée en perspective ! L’interface Windows 8.1 est clairement orientée pour un usage tactile et son utilisation sur un ordinateur fixe ou portable est pénible.
Investir dans une machine équilibrée et y installer un système libre tel que Xubuntu, Mint ou bien OpenSuse. Si vous utilisez des logiciels spécifiques à Windows n’ayant pas d’alternative libre, nous vous conseillons d’acquérir une licence Windows 7.
Réinstaller simplement sa machine avec un système d’exploitation libre et léger car les nouvelles versions de Windows sont maintenant trop lourdes pour votre machine vieillissante. Vous penserez également à sauvegarder vos données importantes car la fiabilité de votre machine devient problématique.
Dans tous les cas de figure, vous pouvez nous contacter pour obtenir conseils et assistance dans vos démarches.
Si vous avez un multi-boot utilisant grub2 sur votre machine et que vous souhaitez démarrer automatiquement sous un système d’exploitation suivant l’heure, le jour ou bien le mois de votre choix, ceci est possible. Lors de l’amorçage de grub2 les fichiers de configuration situé dans /etc/grub.d/ sont exécutés dans l’ordre numérique. Le premier fichier 00_header déterminant le système d’exploitation par défaut, on peut court-circuiter sont fonctionnement en créant un petit script 01_date_based_selection par exemple s’exécutant juste à près le premier. Ce petit script aura besoin de connaitre la date actuelle, ce qui peut se faire en utilisant le module datehook qui permet d’avoir accès aux variables entières DAY, HOUR, MINUTE, MONTH, SECOND, YEAR ainsi que qu’à la chaine de caractères WEEKDAY retournant (Monday, Thuesday…). Il nous reste encore à déterminer les entrées présentes dans le menu de grub grâce à la commande :
Ubuntu
openSUSE 12.3
Microsoft Windows XP Professionnel (on /dev/sda1)
Windows 7 (loader) (on /dev/sda2)
Notre script final à placer dans /etc/grub.d/ et qui sera bien entendu rendu exécutable pourra ressemble à ce qui suit si par le plus grand des hasard vous donnez des cours sous Windows XP le vendredi matin :
#!/bin/sh
cat <<EOF
# This module creates special variables that return the current date/time
insmod datehook
# Add and extra 0 to minutes if it's less than 10 (force a 2-digit minute)
if [ \$MINUTE -lt 10 ]; then PADDING="0"; else PADDING=""; fi
TIME=\$HOUR\$PADDING\$MINUTE
# Boot "Windows XP" from 07AM to 11:50AM on Friday
if [ \$WEEKDAY == Friday -a \$TIME -ge 0700 -a \$TIME -lt 1150 ]; then
set default="Microsoft Windows XP Professionnel (on /dev/sda1)"
else
set default="Ubuntu"
fi
EOF
Nous finirons par mettre à jour grub via la commande sudo update-grub2, afin de mettre à jour le fichier grub.cfg
NoteAprès une mise à jour de grub celui-ci à refusé de changer la priorité du boot… la variable
WEEKDAY à été traduite, il faut maintenant tester pour mon cas \$WEEKDAY == vendredi.
Aujourd’hui nous allons voir comment modifier simplement le fond d’écran du système d’exploitation de la firme de Redmond à l’aide d’un petit script. Pourquoi faire un script me direz vous si on peut passer par un « clic droit sur le Bureau > apparence > choisir son fond d’écran » ou par un «clic droit sur l’image souhaité > définir en tant que papier peint de bureau », je vous répondrai, « parce qu’on peut » ou « juste pour le sport » ou bien « parce que c’est plus rapide pour des taches automatisées ». Bon fini l’introduction, passons à la méthode. Une des première chose que j’ai faite est donc une petite recherche sur un moteur de recherche, il est rapidement tombé que la pierre angulaire de notre script allait être la modification de la clé de registre
HKCU\Control Panel\Desktop\Wallpaper
oui c’est déjà un début, mais très rapidement, on bute sur « Ça marche pas avec un png ou un jpeg, ou même la plupart des images» en fait si on veut que ça fonctionne, il nous faut une image au format bitmap soit avec l’extension .bmp. Un pas de plus vers la solution se profile, mais windows étant ce qu’il est, il est bon de s’armer de patience. Et pour lui dire qu’on a changé quelque chose dans la base de registre il est bon d’insister par la commande
qui permettra magiquement de faire apparaitre notre nouveau fond d’écran… ou pas. En effet à ce moment là de ma recherche je travaille exclusivement avec des bmp, mais alors que la commande fonctionne sur certains fichiers, d’autres refusent catégoriquement de s’afficher sur mon écran. Ô désespoir ! Heureusement porté par une envie irrésistible de réussir, je tente une méthode passant par un petit peu de code C++, mais là le même problème que précédemment ce pose. Que faire ! Après encore quelques recherches qui termineront cette quête avec succès je l’espère, il s’avère que les bitmaps gérés par windows, ne sont pas à prendre à la légère. En effet, lorsque j’ai dis, à un moment de ma progression, que je travaillait exclusivement avec du bitmap, ces fichiers était en fait des images de mon cru, originellement des png que j’avais converti en bmp… et la clé résidait donc dans cet export. Je vous décris donc les deux paramètres nécessaires lors de l’export fructueux d’un bitmap à l’attention de windows, à l’aide du logiciel très connu Gimp :
– le NON stockage des informations relative à l’espacement de couleurs ?
– le stockage de l’image au format 24 bits.
Je vous laisse le soin d’adapter les réglages à votre propre logiciel de dessin, en espérant qu’il n’y ai pas d’autres embûches sur notre chemin.
En résumé pour changer son fond d’écran via un script batch sous windows
1 – Préparer une image bitmap, enregistrée de la bonne manière (24 bits, sans informations d’espacement de couleurs)
3 – Adapter le script à vos besoins… comme par exemple jouer avec la clé TileWallpaper pour centrer, étirer ou utiliser le mode mosaïque d’affichage à l’écran